Je suis né au Congo (RDC). J’ai grandi à Bukavu dans la province du Kivu Sud; c’est
là que j’ai appris le français et le swahili. De 1955 à 1958, j’ai étudié à Culemborg
aux Pays-Bas; c’est là que j’ai appris le néerlandais. En 1957, un baron allemand
m’invita à son château afin d’enseigner le français à ses filles; au lieu de cela, elles m’ont apprit l’allemand!
En 1960, suite aux évènements socio-politiques, nous quittions le Congo pour l’Afrique du Sud; c’est là que j’ai appris l’anglais et l’afrikaans. En 1975, j’ai obtenu un MBA de l’Université de Stellenbosch.
Durant ma carrière, j’ai oeuvré dans seize (16) industries différentes. En Belgique,
j’ai travaillé pour une compagnie américaine où j’étais responsable des ventes,
des traductions de catalogues ainsi que de toutes les communications pour le marché
des Pays-Bas, du Luxembourg, de la France et, comme de raison, de la Belgique.
Mon épouse et moi parlons le français et le néerlandais à la maison, mais nous
utilisons l’anglais et l’afrikaans dans la communauté. En 1956, j’ai commencé à faire
de la traduction aux Pays-Bas; j’étais membre d’un groupe et agissais comme
interprète lors de rencontres internationales. Depuis ce temps, lorsque nécessaire,
je remets mon chapeau de traducteur ou d’interprète. À titre gratuit, je pourrais lire
votre texte et vous le résumer. Étant de la vieille école, je me réjouis d’un travail
bien fait.
Depuis huit (8) ans, je travaille régulièrement pour un client francophone. Je le
conseille sur tout et même dans les dossiers légaux. De plus, je rédige toute
correspondance en français, en anglais et en afrikaans; après approbation,
je traduis dans la langue nécessaire. Toute correspondance est traduite en français.
De plus, lors des réunions, je suis l’interprète attitré.
J’adore les défis et la résolution de problèmes. La technologie moderne nous permet
de vivre dans un petit village tout en restant en contact avec le monde entier.
Contactez-moi pour n’importe quelle raison, même si c’est juste pour bavarder.
Jim Reeves, le chanteur, avait raison quand il disait « Un étranger n’est qu’un
ami inconnu. » |